en quête de sens et d'essentiel...
2.12.2021 - bas de page "pensée complémentaire" 03.12.2021
Petites réflexions sur les notions : « essentiel » et « non essentiel »
Qu'on le veuille ou non, depuis le début de cette crise et dès le premier confinement, a été introduite (subrepticement ?) la notion de « essentiel » ou « non essentiel », du moins selon les considérations, quelques fois très hasardeuses, de notre caste gouvernementale.
Chacun de nous ayant selon son tempérament, sa situation
personnelle et les circonstances de sa vie, une idée de ce qui lui est essentiel ou non. Rappelons qu’il est des pays où la notion d’essentiel est réduite à pouvoir manger, boire, se vêtir, et se mettre à
l’abri… je dis ça, je dis rien : ayant vécu en Inde et au Sénégal, j'ai conscience de cette réalité.
Anecdote : à mon retour en France, en 2012, après 2 ans passés
en Inde, lorsque j'entrais dans un magasin et a fortiori dans un centre commercial, me venait l'impression que j'entrais dans la caverne d'Ali Baba et je me disais : mais avons nous besoin de tout ça ?!
Maintenant, rappelons-nous du 1er confinement du printemps 2020, on nous interdisait dans certains grands magasin l’accès à certains rayons dits non essentiels, dont l’absurdité pouvait nous faire rigoler doucement. Ainsi des chaussures, chaussettes et autres sous-vêtements… avec du recul, c’est drôle non ?
Depuis ce premier confinement, nous en avons vu des vertes et des pas mûres quant à ce qui est de nature essentielle ou pas, et ce dans le cadre d’une réglementation 🤪 "sourcilleuse" mise en place par l’instauration d’un passe sanitaire délivré aux seules personnes dûment vaccinée 2 doses… en attendant la 3ème évidemment… essentielle celle-là aussi ??
Cette réglementation nous a donné à voir des contradictions risibles si la situation n’était pas aussi dramatique, avec un exemple devenu incontournable, celui des transports en commun qui fait que vous ne risquez pas de croiser covid dans le métro, le RER ni le TER, ces transports là étant justement "essentiels" pour la vie quotidienne de millions de Français qui peuvent donc se contaminer sans crainte d'être réprimandés par un(e) ayatollah du pass sanitaire. Pendant que le TGV lui est soumis au Pass et l’avion aussi, s'agit il pour autant de transports non essentiels ?? ben… ça dépend, ça dépend de quoi ? euh… je sais pas… je ne me suis pas informée plus que ça des goûts de COVID sur ses destinations préférées mais une chose est sûre l’Australie, il aime pas, mais alors pas du tout !!
Mais revenons à la notion « essentiel » : nous nous trouvons en situation de faire des « choix » au regard de restrictions qu’on nous impose selon que l’on accepte ou refuse la vaccination, laquelle s’avère alors :
1.= essentielle : pour préserver un emploi, une situation professionnelle et tout l'équilibre financier, social et donc personnel et familial, particulièrement avec des enfants : ainsi des professions médicale et hospitalière, premières ciblées dans ce choix difficile qui relève, dans les faits, du chantage pur et simple à la vaccination… pour raison « professionnelle » !
On peut aussi mentionner l’accès aux soins médicaux ou la visite d’un proche hospitalisé, conditionné à la vaccination ou des tests dont la durée est maintenant limitée à 24h !
2.= non essentielle : juste pour se (p)réserver les petits plaisirs du quotidien : ciné, restos, musées, théâtre, etc...
Il semble qu’un contingent encore non négligeable de non vaxx subsiste et voilà que nos "zotorités" voient poindre la possibilité d'un autre contingent, cette fois constitué de doubles dosés, revenus des délires vaccinaux gouvernementaux et rendus résistants à la 3ème dose. Pour assurer ses arrières vaccinaux et soutenue sinon portée (à bout de bras ?) par la commission européenne, notre caste gouvernementale se met en mode « on réfléchit » à instaurer des amendes « c’est pas qu’on le veuille notez bien… ».
Ainsi, nouveau tour de vis à envisager sous « mandat » européen ? la réponse est en suspens....
Nous vivons un marché de dupes. Vous souvenez vous de ces vieux films mettant en scène des « bandits de grands chemin » qui dans la vraie vie, celle des temps anciens, étaient en fait de vrais fauchés qui rançonnaient les « diligences » dans lesquelles voyageaient le plus souvent des gens aisés voire riches. Mais au 21è siècle les bandits de grands chemins ont déserté les routes et si on en trouve, avec d’autres rançonneurs, c’est parmi l’élite de la société, cherchons l’erreur, et leur marché est celui-ci
- Tu me donnes ta bourse et tu restes sans vaccin donc en vie et en bonne santé : la question qui suit c’est : pour combien de temps avant que les bandits reviennent à la charge et nous rançonnent à nouveau et dans quelles proportions, selon quelles modalités ?
- Tu n’as pas d’argent ou tu veux pas en donner : tu seras vacciné !... de force ? ce point-là ne me paraît pas tranché clairement, tellement il est gravissime, nous réduisant, faute d’argent à remettre à nos rançonneurs, à sacrifier notre santé à court, moyen ou long terme voire notre propre vie, selon les effets indésirables qui se produiraient, tellement il devient évident que ces effets existent malgré le déni généralisé qui a prévalu pendant de longs mois et semble se dissiper légèrement ces temps-ci... à confirmer...
Nos bandits de grands chemins jouent donc gagnant-gagnant puisqu’ils font et défont les règles selon ce qui les arrange et en plus en ayant toujours l’air, et c’est là que réside toute leur perversité, de nous donner un choix qui n’en est pas un en détournant à loisir les lois à leur convenance.
Et à ce stade, il semble qu’il n’y
ait en face d’eux aucune opposition à même de leur faire face et de s'y opposer. N’est ce pas là une question qui risque de nous interroger longtemps avant que nous puissions comprendre pourquoi l’élite politique,
tous partis confondus, malgré quelques exceptions rares et minoritaires, et la merdiacratie sont à ce point inféodées au pouvoir en place.
Encore que pour la merdiacratie on peut admettre qu’elle soit ni plus ni
moins que « achetée » par l'oligarchie complice du pouvoir, nous avons donc affaire non à des professionnels mais à des mercenaires de l’information et de la communication. A propos de ces merdias, je vous oriente
vers mon article "le soufre des medias", rédigé à partir d'une vidéo que j'avais beaucoup appréciée https://www.jeanef.fr/413158470
pensée "complémentaire" 03.12.31 :
Pour revenir à la vie politique en France, j'ai envie (besoin) de penser que l'élection présidentielle de 2022 qui se profile sera, quoi qu'il arrive et quoi
qu'il en coûte [et à qui?], un moment de vérité dont le pays a besoin pour repartir en marche avant. Pour le moment, j'ai la sensation que le véhicule national (la "diligence" version 21è siècle) s'est encalminé
sur un chemin boueux, en rase campagne, et ça patine sévère. Reste à savoir ce qui va donner la "pitchenette" permettant de le sortir de l'ornière dans laquelle il est tombé :
- un coup d'accélérateur
désespéré du conducteur (populaire)
- ou l'aide providentielle d'un paysan "du coin" venu spontanément porter assistance après avoir entendu de loin le vrombissement désespéré du moteur poussé
au maximum par le conducteur aux abois.
Mon questionnement en guise de conclusion :
Pouvons nous, en tant que Peuple, résister seuls face à ces bandits de grands chemins ?
Oui, c’est
possible mais il faut sans doute en passer, après la phase de sidération en voie de se dissiper, par une phase d’acceptation des trahisons commises contre nous puis par un renoncement à tout ce qui a fait notre vie d'avant pour que
nous prenions définitivement conscience de ce qui nous est essentiel : notre vie, notre santé, nos principes, ce en quoi nous croyons, etc... afin d’être prêts à reconstruire une société plus juste,
plus équilibrée, moins gourmande de plaisirs « non essentiels » et plus en recherche de sens à donner à notre vie qu’elle soit personnelle, familiale, professionnelle, artistique, etc..
N’est-ce pas la dure leçon que cette épreuve nous donne à vivre et à surmonter ?
Derniers commentaires
(Wikipedia...
)
Comme tout cela est vertigineux ! Mais ça (les Khazars...) donne aussi du sens à ce qui se passe dans la plupart de nos médias, comme au plus haut niveau de nos institutions...
Merci pour vos réflexions très pertinentes. Nous vivons une période très particulière et il me semble que ce rêve très énigmatique en 2016 est devenu parlant depuis. N'était ce pas un à avertissement
Et paradoxalement, c'est souvent lorsqu'il est trop tard et plus temps de réfléchir que l'action, basée sur l'intuition, est la plus "simple".
Le libre arbitre va parfois à l'encontre de la raison...